Chassez le naturel et il revient en petites pelotes de mousse surgissant du béton, sous la forme d’une ombre tortueuse derrière une fenêtre, ou tout simplement posé en équilibre précaire sur un océan de métal. Si le « Mono no aware » (物の哀れ) est la sensibilité des Japonais pour l’éphémère, le temps qui passe rappelle toujours qui de la Nature et de l’humain s’avère le plus évanescent.